Articles

Liège (7e ch.), 28 avril 1994, R.D.C.-T.B.H., 1995, p. 1032.

·

L'erreur commise par un banquier sur les chances de succès d'une entreprise dont il maintient ou augmente le crédit n'engage pas la responsabilité contractuelle de celui-ci vis-à-vis de son client, s'il apparaît, sur la base des renseignements fournis par l'emprunteur, que les risques pris ne sont pas déraisonnables.

Lire l’article

Anvers (6e ch.), 11 avril 1994, Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1063; Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1067; Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1068.

·

Lorsque la durée de validité d'un ordre de bourse est modifiée en raison d'un nouveau règlement, le banquier ou l'agent de change doivent en informer personnellement leurs clients, à peine d'engager leur responsabilité. — Il est d'usage de donner ou d'annuler des ordres de bourse par téléphone …

Lire l’article

Anvers (6e ch.), 11 avril 1994, Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1063; Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1067; Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1068.

·

Lorsque la durée de validité d'un ordre de bourse est modifiée en raison d'un nouveau règlement, le banquier ou l'agent de change doivent en informer personnellement leurs clients, à peine d'engager leur responsabilité. — Il est d'usage de donner ou d'annuler des ordres de bourse par téléphone …

Lire l’article

Anvers (6e ch.), 11 avril 1994, Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1063; Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1067; Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1068.

·

Lorsque la durée de validité d'un ordre de bourse est modifiée en raison d'un nouveau règlement, le banquier ou l'agent de change doivent en informer personnellement leurs clients, à peine d'engager leur responsabilité. — Il est d'usage de donner ou d'annuler des ordres de bourse par téléphone …

Lire l’article

Mons (1re ch.), 7 mars 1994, R.D.C.-T.B.H., 1995, p. 1043.

·

Le banquier dispensateur de crédit a le devoir d'informer son client et de le conseiller sur les différentes techniques de crédit possibles en mettant le client en garde en cas de choix inadapté. — Des dépassements de crédit, même répétés, ne font pas naître au profit du client le droit de les maintenir ou de les renouveler …

Lire l’article

Civ. Liège (7e ch.), 14 décembre 1994, R.D.C.-T.B.H., 1995, p. 1038; R.D.C.-T.B.H., 1995, p. 1041 à 1043.

·

Il ne peut être reproché à une banque d'avoir consenti des crédits sur la base d'un rapport de prévision de rentabilité établi par un bureau comptable dont le sérieux ne pouvait a priori être mis en cause. — C'est à l'emprunteur qu'il incombe en premier lieu de faire procéder à une analyse précise de la situation, le banquier …

Lire l’article

Civ. Liège (7e ch.), 14 décembre 1994, R.D.C.-T.B.H., 1995, p. 1038; R.D.C.-T.B.H., 1995, p. 1041 à 1043.

·

Il ne peut être reproché à une banque d'avoir consenti des crédits sur la base d'un rapport de prévision de rentabilité établi par un bureau comptable dont le sérieux ne pouvait a priori être mis en cause. — C'est à l'emprunteur qu'il incombe en premier lieu de faire procéder à une analyse précise de la situation, le banquier …

Lire l’article

Civ. Courtrai (2e ch.), 11 octobre 1994, Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1008.

·

En cas de dépassement non autorisé par la banque, le taux d'intérêt débiteur porté en compte est normalement supérieur au taux conventionnel applicable aux ouvertures de crédit. un taux de 22,80% l'an est conforme à l'usage. — Le règlement des opérations peut valablement prévoir que ce taux est déterminé unilatéralement par le …

Lire l’article

Civ. Louvain (7e ch.), 20 avril 1994, Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1005.

·

Un contrat de prêt à tempérament dénoncé pour non-paiement des mensualités peut valablement stipuler des intérêts de retard de 12% l'an tant sur les mensualités échues et impayées que sur l'intégralité du solde restant dû. Les intérêts judiciaires au taux conventionnel indemnisent le dommage résultant du retard d'exécution …

Lire l’article

Civ. Brux. (11e ch.), 21 février 1994, Rev. dr. comm. b., 1995, p. 1019.

·

Il ne peut être reproché à une banque d'accepter à l'encaissement un chèque tiré sur une banque d'un pays éloigné dont il apparaît ultérieurement qu'elle est inexistante.

Lire l’article